DLF Seeds A/S et le Groupe Florimond Desprez annoncent leur intention de constituer une joint-venture pour centraliser leurs activités betteravières, avec l'ambition de redéfinir le paysage de la filière de semences de betterave sucrière
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Un été “pourri”, c’est probablement ainsi que serait qualifié la période estivale 2023 par une grande majorité des belges. Les observations météorologiques permettent de nuancer cette vision un peu sombre de l’été (météorologique) qui vient de se terminer. L’été 2023 a en effet été dans l’ensemble chaud. La température moyenne sur la période, égale à 18,9°C, se classe en effet en 5ème position des étés les plus chauds depuis 1991 (avec toutefois un net contraste entre juin exceptionnellement chaud et une période plus fraîche entre mi-juillet et début août). Les précipitations ont par contre été fréquentes et parfois abondantes en juillet et août ce qui a probablement influencé l'opinion quant à la médiocrité de cet été. Ces fréquentes précipitations ont été préjudiciables à la récolte des froments. Les récoltes ont été tardives et des pertes de rendements mais aussi de qualité ont été observées. Les cultures de printemps ont, par contre, dans l’ensemble profité de ces conditions chaudes et humides du moins en quantité (si on tient compte du retard phénologique) mais il en est de même pour les ravageurs/maladies dont la pression a été forte, notamment en betterave sucrière (notamment la cercosporiose). Pour cette dernière, la teneur en sucre est assez médiocre en ce début septembre.
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Depuis l'abandon du traitement des semences aux néonicotinoïdes, l'industrie européenne de la betterave sucrière est confrontée à des défis importants. Les virus de la jaunisse transmis par les pucerons sont apparus comme une menace majeure, entraînant des pertes de rendement substantielles allant jusqu'à 50 % et mettant en péril la viabilité économique de la culture de la betterave sucrière.
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Au printemps 2022, le sélectionneur de betteraves sucrières SESVanderHave lancera REDUKTO, une nouvelle variété de betterave sucrière qui combine la résistance aux nématodes à kystes de la betterave avec une très forte résistance aux nématodes à galles. L'utilisation de cette variété de betterave innovante dans la rotation peut donc réduire considérablement l'impact sur les cultures suivantes sensibles aux nématodes à galles.
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Le mercredi 17 novembre, le Roi et la Reine ont visité la province du Brabant flamand. Ils ont également fait escale dans la ville sucrière de Tirlemont, où ils ont rendu visite à l’unique producteur belge de semences de betteraves sucrières, SESVanderHave.
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La maladie de la betterave sucrière «Syndrome Basses Richesses» ou SBR, fait sa réapparition en Europe. Le contrôle chimique de cette maladie est considéré comme impossible. SESVanderHave, l'un des principaux sélectionneurs de betteraves sucrières, a donc cherché et trouvé les possibilités d'une solution génétique. Avec FITIS et KAKADU, ils mettent sur le marché les premières variétés de betteraves sucrières tolérantes au SBR.
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L’institut International de Recherches Betteravières (IIRB) est une institution internationale, non-gouvernementale et sans but lucratif. L’objectif poursuivi par cet institut est de favoriser le transfert de connaissances et la mise en réseau entre les scientifiques et les spécialistes de la culture de la betterave sucrière pour faire progresser les connaissances et les techniques.
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Chaque année, en Europe, des millions de tonnes de pulpe de betterave sucrière ne sont valorisées que comme produits à faible valeur ajoutée, que ce soit en tant qu’alimentation animale, engrais ou transformées en biogaz. Cependant, grâce à de nouvelles techniques d'extraction de pointe, cette pulpe peut maintenant être transformée en composants à haute valeur ajoutée, utilisés dans la fabrication d’équipements sportifs, de pièces pour l’automobile ou encore dans l'industrie aéronautique, multipliant ainsi sa valeur actuelle par 50 ! Il ne s’agit pas d’un rêve lointain, mais du projet très réel PULP2VALUE : l’un des 65 projets innovants financés par les 3,7 milliards d’euros du BBI JU.
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Collaboration pour de nouvelles options dans la culture de la betterave sucrière
• SESVanderHave, entreprise spécialisée dans les semences de betteraves sucrières, va déployer la technologie CONVISO®SMART
• CONVISO®SMART permet une culture plus flexible dans le temps et plus respectueuse de l’environnement
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Les mois de printemps très humides et pluvieux ont laissé la place à un été plus sec avec des températures proches de la normale.
Les sécheresses débutantes de juillet ont été arrêtées par les pluies du début du mois d’août. Les dégâts causés par les fortes pluies de juin n’ont pas pu être compensés au cours de ces deux derniers mois.
Les rendements sont globalement inférieurs à la normale pour les cultures de pomme de terre et de betterave sucrière.
Ils sont attendus légèrement inférieurs à la normale pour le maïs.
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Le 6 septembre dernier, le SESVanderHave Innovation Center (SVIC), nouveau centre R&D dédié à la betterave sucrière, a été inauguré à Tirlemont en Belgique par le ministre fédéral de l’Agriculture Belge Willy Borsus en présence de près de 250 représentants de la filière et scientifiques internationaux de renom. D’un budget de 20 millions d’euros et construit en à peine 400 jours, le SVIC est, avec ses 13.000 m² de serres et 2.000 m² de laboratoires, l’un des centres de recherche les plus avancés de l’industrie sucrière.
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L’institut International de Recherches Betteravières (IIRB) est institution internationale, non-gouvernementale et sans but lucratif (ASBL). Son objectif est de faire progresser les rendements de la betterave sucrière en favorisant la collaboration entre les tous les spécialistes intéressés par l’amélioration des techniques culturales et la recherche dans les différents domaines. Pour réaliser ses objectifs et promouvoir le transfert des connaissances scientifiques dans la pratique l’IIRB améliore sans cesse sa structure, organise des réunions de groupe de travail, des séminaires et des congrès, et publie le compte-rendu de ses travaux.
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Les craintes de sécheresses renseignées lors du dernier bulletin n’ont pas été confirmées. Si les rendements sont annoncés légèrement à la baisse pour le maïs et les pommes de terre, ils sont clairement à la hausse pour la betterave sucrière.
Ces tendances sont déduites des observations du développement des cultures et des modèles agrométéorologiques qui vont dans le même sens.
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Après la réunion des Comités pour l’élaboration du Catalogue national des variétés des espèces de plantes agricoles de ce mardi 9 décembre 2014, 24 nouvelles variétés de betterave sucrière sont proposées à l’inscription.
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Le marché du sucre européen est en crise. Les prix sont en chute libre depuis début 2014 et atteignent aujourd’hui des niveaux que nous n’imaginions même pas il y a seulement quelques mois. La faiblesse des prix actuels est dangereuse pour l’industrie sucrière européenne, même pour les entreprises les plus performantes d’Europe qui traversent déjà une période difficile.
Cela vaut également pour nos deux entreprises belges. On dirait que le scénario que nous avions prévu pour l’après-quota en 2017, se réalise déjà maintenant, mais de manière accélérée.
Voici les actualités (oct/nov 2014):
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Du 25 au 28 juillet 2014 à Libramont
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SESVanderHave, un des leaders internationaux du marché de la betterave sucrière, a mis au point une nouvelle tolérance aux herbicides pour la betterave. Cette technologie a été développée par son propre département R&D; cette tolérance offrira de nouvelles possibilités en matière de désherbage pour les
producteurs du monde entier.
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Une variété ne peut être multipliée ou commercialisée en Belgique que si elle est inscrite au catalogue national des variétés des espèces agricoles ou au catalogue national des variétés des espèces de légumes ou au catalogue communautaire des variétés des espèces agricoles ou au catalogue communautaire des variétés des espèces de légumes.
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Le 17 septembre 2013, la Raffinerie Tirlemontoise était dans les starting-blocks à Tirlemont et Longchamps pour le début de la campagne sucrière.
Ce jour-là, les premières betteraves arrivèrent en grand nombre pour être transformées en sucre. 112 jours plus tard, le 7 janvier, les usines accueillaient les dernières betteraves, marquant la fin de la campagne sucrière 2013-2014.
Une campagne dont les résultats furent finalement meilleurs que prévus.
Des conditions climatiques douces augmentent le rendement
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Les résultats des essais variétaux réalisés par l’IRBAB en 2013 et relatifs aux variétés de betterave sucrière commercialisées en 2013 ont été publiés dans le Betteravier de décembre 2013.
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Les cultures de printemps (betterave sucrière, maïs fourrager et pomme de terre) semblent avoir compensé un début de cycle difficile en exploitant bien les mois de juillet et d’août qui ont été dans l’ensemble favorables aux cultures.
Observations météorologiques et de la télédétection concordent dans l’annonce de bonnes conditions de croissance durant les deux derniers mois.
Les rendements annoncés sont très proches des valeurs moyennes pour le maïs et la pomme de terre.
Ils sont légèrement supérieurs aux moyennes des 5 dernières années pour la betterave sucrière.
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Une variété ne peut être multipliée ou commercialisée en Belgique que si elle est inscrite au catalogue national des variétés des espèces agricoles ou au catalogue national des variétés des espèces de légumes ou au catalogue communautaire des variétés des espèces agricoles ou au catalogue communautaire des variétés des espèces de légumes.
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Nemgenix Pty Ltd, entreprise internationale spécialisée dans les biotechnologies végétales qui développe de nouvelles technologies pour la lutte contre les nématodes et les pucerons, et SESVanderHave, société semencière leader de la sélection et de la commercialisation de graines de betteraves sucrières, ont annoncé aujourd’hui leur collaboration afin de développer une betterave sucrière résistante au nématode à kyste pour répondre à la nécessité d’une stratégie de résistance à long terme.
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Ce week-end la campagne betteravière 2012-2013 a débuté à la Raffinerie Tirlemontoise et la semaine prochaine, la production sucrière redémarrera à plein régime chez ISCAL SUGAR.
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La période d’avril à août 2010 fut marquée par une forte alternance de périodes sèches et humides avec des épisodes froids succédant à des vagues de chaleur. La période sèche de mi-juin à mi-juillet fut particulièrement remarquable et la fin de cette période s’est accompagnée de températures très élevées accentuant encore les besoins en eau des plantes. Les cultures à système racinaire superficiel ou situées dans des terrains peu profond ont largement souffert de cette période. Cependant le mois d’août très pluvieux a permis à la plupart des cultures de printemps de récupérer leur retard de croissance. Les rendements prévus par nos modèles sont bons pour les cultures de betterave sucrière, pomme de terre et maïs.
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